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Une journée dans la vie d’Ambre Nulph-Forêt, traductrice chez ElaN

12 août 2016

Ambre Nulph - Vertaalster bij ElaN Languages

Toute traduction fidèle suppose un traducteur expérimenté. ElaN Languages s’appuie à cet effet sur un réseau international de 2000 traducteurs qualifiés, qui se tiennent à votre disposition. Notre plus-value ? Chaque traduction est systématiquement relue, et ce par notre équipe interne composée de 16 traducteurs-réviseurs.

Parmi eux se trouve Ambre Nulph-Forêt, traductrice et relectrice en langue anglaise. Nous nous sommes entretenus avec elle sur les plaisirs du métier de traducteur et sur les défis rencontrés au quotidien. « La traduction, c’est un soupçon de copywriting arrosé d’une bonne dose de connaissances expertes en grammaire et orthographe. »

À quoi ressemble pour vous une journée de travail typique ??

« Après une bonne tasse de café, je démarre la journée en consultant ma messagerie et en organisant les demandes de traduction et de relecture envoyées par les chefs de projet. J’établis mon planning en fonction des délais et je m’attèle à la tâche. Pour vous donner une idée : chez ElaN Languages, un réviseur vérifie chaque jour entre 10 000 et 12 000 mots ; les traductions réalisées en interne varient entre 2000 et 2500 mots. Avec un tel volume, le client est assuré d’un travail soigné jusque dans les moindres détails. »

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre job ?

« Je considère la traduction comme mon point fort. Or, on a tendance à aimer ce pour quoi on est doué. Je prends plaisir à produire des textes fluides. Certes, cela requiert beaucoup de concentration. Mais une phrase bien tournée est pour moi source de bonheur. Voilà pourquoi j’aime tant travailler à domicile, en toute tranquillité. Le bon contact avec les collègues est tout aussi plaisant, bien que nous échangions surtout par courriel et par Skype. Tout le monde est tellement attentionné et compréhensif. »

Traduire et réviser supposent bien plus qu’une simple transposition d’une langue à une autre. J’y vois davantage un art de « jongler avec les langues ».

« Je suis tout à fait d’accord ! Il s’agit en quelque sorte d’un exercice d’équilibre : le texte traduit doit être aussi fluide que possible. Il ne doit donc pas ressembler à une traduction, mais à un texte rédigé dans la langue cible, sans toutefois trop s’éloigner du texte source. Or, pour mener à bien cette tâche, il convient d’avoir une excellente maîtrise de la langue source. Bref, la traduction, c’est un soupçon de copywriting arrosé d’une bonne dose de connaissances expertes en grammaire et en orthographe. »

La plupart des traducteurs avec qui nous collaborons utilisent une mémoire de traduction. Cet outil vous est-il également utile ?

« Une mémoire de traduction est pour moi un outil indispensable. Je gagne en effet beaucoup de temps grâce à l’insertion automatique des correspondances et répétitions. Quant à la fonction de concordance, elle me permet de consulter mes traductions antérieures et m’aide ainsi à rester cohérente. Certes, je me rappelle souvent plus ou moins mes choix précédents. La mémoire de traduction vient alors confirmer ce que je pensais. »

Comment réagissez-vous au feed-back des clients ? 

« Cela fait toujours du bien d’être complimenté par un client. Par contre, en cas de remarques, ma première réaction est souvent : ‘Vous plaisantez !?’ Que voulez-vous, j’ai tendance à être un peu impulsive et perfectionniste :-). Mais je finis toujours par prendre du recul pour comprendre le commentaire du client. J’essaie ensuite d’expliquer le pourquoi de ma formulation. Il s’agit, le plus souvent, d’une question de sémantique ou encore de préférences. Toutefois, quand il y a vraiment erreur de ma part, j’ai du mal à l’admettre (après tout, personne n’aime s’avouer imparfait, n’est-ce pas ? ;-)). Mais le principe suivi par l’équipe de traducteurs et de réviseurs est toujours le même : nous tirons les leçons nécessaires des remarques formulées et partageons parfois le feed-back reçu, qui est alors conservé en interne. Or, c’est là que réside la plus-value d’ElaN en comparaison avec d’autres agences de traduction. Ce feed-back sera intégré autant que possible dans nos travaux futurs, ce qui nous permet de réaliser des traductions plus cohérentes. »

Pour conclure, les traducteurs ont vraiment le nez pour débusquer les erreurs de grammaire et d’orthographe, et se trouvent parfois affublés du sobriquet de « grammar nazi ». En va-t-il de même pour vous ?

« Oh oui, je suis sans aucun doute une grammar nazi ! Mais je ne traque pas activement les erreurs, celles-ci me sautent simplement aux yeux. En règle générale, j’essaie de ne pas corriger les gens en ligne, car c’est tout bonnement peine perdue. Ce qui m’irrite cependant prodigieusement, ce sont les fautes de grammaire et d’orthographe dans les ouvrages d’écrivains célèbres et expérimentés. Je me dis alors en souriant qu’ils auraient peut-être mieux fait de s’adresser d’abord à ElaN... »

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